Les chefs d’entreprise Polynésiens victimes de terrorisme… Financier !

 

 

La CPME de Polynésie française demande instamment à certains établissements bancaires d’arrêter l’essorage institutionnalisé dont sont victimes les entreprises…

À contrecourant des dernières mesures prises par le gouvernement en faveur du développement des entreprises et notamment des TPE, certains partenaires du secteur bancaire ont fait le choix de la politique du « toujours plus de taxes »

Entre frais supplémentaires, nouveaux prélèvements, allongement des délais de paiement et autres décisions toujours plus lucratives, les banques ne cessent de resserrer l’étreinte qu’elles exercent sur les entreprises. Dans le cas présent, ce sont donc 1500frs par mois qui viennent alourdir les comptes des TPE/PME.

Les entreprises polynésiennes doivent à présent financer la lutte contre le blanchiment d’argent à l’échelon polynésien.  De qui se moque-t-on ?

La CPME de Polynésie française s’étonne du choix de communication qui a été retenue pour informer les entreprises, sous la forme d’un courrier laconique annonçant la création d’un impôt nouveau sur le terrorisme….

Décidément, quand il s’agit de prélèvements, certains partenaires bancaires ne manquent pas d’imagination…

En attendant, le seul terrorisme ressenti à l’échelon local par les chefs d’entreprise polynésiens c’est celui orchestré par les instances financières de la place.

 

 

                                                                                                                                                                                                                              Le Bureau Confédéral de la CPME PF